Le ministère des Affaires sociales et du Travail (MAST), récemment secoué par une crise interne, semble avoir retrouvé un semblant de calme. Une photo révélée ce matin montre le ministre Gorges Wilbert Franck et sa cheffe de cabinet, Myriam FETIÈRE, affichant une certaine complicité. Cependant, selon nos informations, cette réconciliation serait loin d’être sincère. Une entente basée sur des intérêts communs aurait été conclue, suscitant l’indignation de plusieurs militants qui avaient pris fait et cause pour Mme FETIÈRE.
Après des semaines de tensions marquées par des accusations de mépris et d’abus de pouvoir, la photo du ministre Franck et de Mme FETIÈRE a surpris l’opinion publique. Si elle semble marquer la fin d’un conflit, nos sources rapportent qu’il s’agirait d’une entente arrangée visant à préserver des intérêts stratégiques. Les enjeux incluraient la gestion d’une maison convoitée et d’autres dossiers sensibles au sein du ministère.
Des militants outrés par cette entente
Ce rapprochement n’a pas fait l’unanimité, notamment auprès de militants qui s’étaient mobilisés en faveur de Mme FETIÈRE. Ces derniers, convaincus qu’elle était victime des abus du ministre Franck, voyaient en elle une figure de résistance face aux dérives autoritaires.
« Nous étions prêts à dénoncer publiquement les agissements du ministre et à soutenir Mme FETIÈRE dans son combat. Cette entente est une trahison pour tous ceux qui croyaient en elle », a déclaré un militant déçu, proche des cercles internes du MAST.
Certains accusent Mme FETIÈRE d’avoir abandonné ses principes pour préserver sa position, tandis que d’autres estiment que le ministre Franck a utilisé son influence pour forcer un compromis.
Si cette entente a momentanément apaisé les tensions internes, elle a ravivé des questions sur la gouvernance et l’intégrité au sein du MAST. Pour de nombreux observateurs, cette réconciliation symbolise une forme de compromis moral où les ambitions personnelles prennent le pas sur l’éthique et la justice.
Le journal Le Reflet à l’écoute des militants
Face à ces nouvelles révélations, le journal Le Reflet se tient prêt à recueillir les témoignages des militants et des parties concernées pour mieux comprendre les dessous de cette affaire. Une chose est certaine : la stabilité affichée aujourd’hui ne convainc pas tout le monde.
La vérité finira-t-elle par éclater ? L’opinion publique reste en attente.
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